Catégories : Selfbondage auto bondage Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 1 an
Cette aventure, je ne suis pas prêt de l’oublier ! Quelques mots sur nous avant que je vous raconte cette terrible aventure qui m’a coûté très cher. Nous étions un couple conventionnel sans jeux particuliers mais sans tabous entre nous. Au fil du temps, sur Fessestivites, j’ai trouvé des choses qui m’ont excité et qui ont fait naître en moi des envies de soumission. Au départ, je me suis amusé à faire du selfbondage, il n’y avait que le chat qui pouvait me dénoncer, autant dire que les risques étaient limités.
J’ai commandé sur ABCplaisir une cage de chasteté pour essayer ce truc et comprendre pourquoi les gens en parlent avec autant de passion. Sur leurs conseils, par rapport à mes besoins de discrétion, je me suis fait livrer en poste restante, c’est ultra pratique pour la discrétion. Cette cage de chasteté m’a permis de découvrir des sensations très excitantes. J’ai fini par lui en parler, elle a trouvé cela rigolo et surtout original que j’ai envie d’avoir ce truc sur la queue. Si elle a accepté que je la mette et de garder les clés, elle n’a pas réellement adhéré à l’idée. De fait, les clés restaient parfois sur la commode de l’entrée de la maison, autant dire que cela n’était pas amusant du tout ! Autant jouer tout seul !
Décidé à vivre réellement l’expérience, un soir je lui ai fait lire une compilation de truc que j’ai trouvé sur les forums et des articles sur Fessestivites. Elle n’a pas très bien pris la chose et m’a demandé si je la trouvais nulle ! Quelques jours plus tard, elle est entrée un peu plus dans le jeu de la domination par la cage de chasteté. La belle était discrètement retournée sur le site pour se renseigner c’est sûr car elle a repris des trucs que je lui avais faits lire. Elle n’a pas voulu le reconnaître et s’est contentée de me dire qu’elle avait réfléchi....
Quoi qu’il en soit, qu’elle soit allée prendre des idées ou pas, elle a commencé à trouver des intérêts à la chose et a même commencé à s’en servir pour ne pas dire à en a b u s e r. Les corvées de vaisselle, ménages, poubelles se sont additionnés à mes obligations. Les préliminaires de nos câlins sont devenus des « préliminaires à SES jouissances ». En clair, elle ne me libérait plus qu’une fois par semaine en fonction de ses envies d’être pénétrée. Au fil du temps, mes périodes de chasteté se sont rallongées sous des prétextes neuf fois sur dix bidons. Pour essayer de l’emmener à autre chose, j’ai essayé d’introduire la fessée et les punitions physiques.
Comme pour la cage de chasteté, elle n’a pas adhéré et n’a surtout pas apprécié que je lui offre deux mois plus tard, une cravache en cadeau d’anniversaire en plus de son parfum habituel. Ce soir là, elle m’a puni à la cravache et a découvert qu’elle pouvait prendre du plaisir à faire mal. Cela lui a fait peur, il a fallu que nous en parlions un certain temps pour qu’elle comprenne la différence qu’il y a entre le plaisir de dominer, et le plaisir de faire réellement mal.
- Et tu aimes que je te fasse mal ? Ma demandé Christine.
Là aussi, de la discussion jaillit la lumière, j’ai pu lui expliquer à ma façon ce que l’on peut ressentir dans ce type de jeux. Comme elle n’avait pas l’air convaincue, je l’ai encore renvoyée vers les forums de Fessestivites. Cette fois, allez donc savoir pourquoi, elle y est retournée sans me « pourrir » .....
Devant le manque de réaction dans les faits, l’idée m’est venue de faire des bêtises et de lui glisser à chaque fois, que cela mériterait des fessées. Elle m’a répondu « ou des jours de cage de chasteté supplémentaires ». Un soir, après un apéro professionnel de son entreprise, à la fin du repas, j’ai renversé mon verre de vin sur sa robe en débarrassant la table. Sauf que c’était une robe de prix qu’elle adore et que, dans ma stratégie, je n’y avais absolument pas pensé.
- Tu l’as fait exprès ? Tu veux que je te punisse c’est ça ? Putain, ma robe est bonne à jeter, tu me le paieras.
En guise de fessée, je l’ai entendue râler plus d’une heure dans la salle de bain, la boite de sel entière y est passée, en vain puisque la tache de vin, ne partait pas. Sa robe était réellement bonne à jeter et moi, j’étais très gêné. J’avais beau m’excuser, elle ne décolérait pas. Au bout d’un long moment, alors que je regardais la télévision, tranquille peinard en sirotant mon verre de cognac, elle a débarqué comme une furie.
- Et c’est tout ce que cela te fait d’avoir bousillé ma robe ? Va chercher la cravache que tu m’as offerte, tu voulais être puni et bien tu vas l’être ! Tu vas être servi, crois-moi sur parole !
Je n’étais pas fier du tout ! Pas fier d’avoir bousillé sa robe et pas fier face à ma femme décidée à me punir réellement. Comme je ne bougeais pas, elle a monté le ton, je suis donc allé chercher sa cravache. A peine arrivé, elle m’a ordonné de me mettre à genoux sur le canapé et de lui montrer mes fesses. J’ai eu beau essayer de négocier, de lui dire « alors pas trop fort », rien n’y a fait bien au contraire. Elle m’a carrément poussé sur le canapé et presque arraché mon peignoir ! Le premier coup est arrivé aussitôt. Il était ultra fort, ultra douloureux et m’a fait bondir. Les suivants étaient plus dosés mais appuyés quand même !!!!!! Mes fesses s’enflammaient, chaque fois que je bondissais et essayais de me protéger, elle m’incendiait en criant « tu n’avais qu’à pas jouer au con, à bousiller ma robe pour tes conneries, ..... ».
Pour l’arrêter, j’ai eu l’idée de la remercier comme dans les histoires et de me mettre à genoux à ses pieds. Cela lui a fait une sorte d’électrochoc. Elle s’est confondue en excuses, je me suis confondu en excuses, nous nous sommes enlacés et, un quart d’heure plus tard nous faisions l’amour. Si cela a été un déclencheur pour qu’elle ose me punir, la belle s’était un peu acharnée sur les fesses qui sont restées marquées quelques jours.
Christine est devenue un peu plus Maîtresse quelques temps plus tard. Est-ce ses longs chats sur Fesseestivites ou une envie qui lui est venue, je n’en sais rien. Toutefois, si la cravache est restée dans le placard, elle devenait plus dirigiste.
La vie n’étant pas un long fleuve tranquille, Christine a eu quelques soucis de santé, rien de grave mais gênants quand même, puis en même temps, des soucis au travail. Au dire que le soir, elle avait envie d’autre chose que de faire la domina. Si bien, qu’au bout de deux semaines sans le moindre câlin, sans le moindre petit jeu BDSM, j’étais en manque.
Pour apaiser le feu du désir de jouer et l’envie de jouir couvant en moi, ne pouvant lui ajouter une charge supplémentaire, je me suis remis au selfbondage. Sur ABCplaisir, j’ai donc fait des achats et j’ai complété mon sac de jouets et de sextoys sans me ruiner, enfin au départ parce qu’après je les ai un peu dévalisé. Le vendredi, mon jour de RTT, après mon passage à la poste, je me suis fait un gros délire tout seul. Menotté mains dans le dos et cagoulé puis équipé de pinces à sein, j’ai du ramper comme je pouvais dans la maison pour aller récupérer les clés emprisonnées dans un ice-timer. Si je n’ai pas joui au sens propre du terme, je me suis pris un pieds d’enfer avec ce nouveau matériel.
Ma femme étant ensuite partie quatre jours en Angleterre pour un colloque professionnel, tous les soirs je me suis fait des plans de plus en plus compliqués. J’avais acheté des chaînes et des cadenas en plus, histoire de compléter ma panoplie d’accessoires.
LE JEUDI SOIR
Son retour étant programmé pour vingt trois heures, j’avais donc le temps de me faire un petit délire. C’était le délire de trop.
Au congélateur, il y avait trois ice-timer, de taille raisonnable, car je ne voulais pas prendre le risque qu’elle me trouve en plein selfbondage.
- Aux poutres de la mezzanine, j’avais fixé les chaînes qui m’obligeraient à rester debout.
- L’une d’elle maintenait mes menottes les mains au dessus de ma tête.
- L’une d’elle passait entre mes jambes et maintenait le plug anal logé dans mes fesses.
- L’une d’elle maintenait juste les pinces à sein.
Le but de ce selfbondage était que je m’empale en avançant, mais qu’en reculant je tire sur mes pinces à sein. Pour ce dernier jeu avant son retour, j’ai voulu le faire en grand, plus hard. J’ai donc pris le jeux de pinces japonaises qui sont plus hard et que j’ai un peu de mal à supporter. J’ai bien vérifié les ice-timer comme ils disent dans les scénarios proposés sur le site, et j’ai enfilé ma cagoule avant de me menotter.
J’étais donc menotté debout avec, un plug maintenu dans les fesses par la chaîne attachée à ma cage de chasteté, des pinces à sein assez fortes m’obligeant à me pencher en avant pour ne pas trop souffrir. Lorsque je reculais, je prenais du plaisir anal en imaginant que ma Maîtresse me prenait au gode ceinture, mais je tirais sur mes tétons. Le tout cagoulé et bâillonné avec les mains menottées au dessus de ma tête, les fantasmes allaient bon train, je bandais comme un malade dans ma cage de chasteté.
Tout ayant une fin, ce qui est très bien parce que je commençais à avoir vraiment mal aux tétons, le ice-timer qui devait me rendre les clés de mes menottes a fondu. Mes doigts ont attrapé très facilement les clés, la ficelle étant un peu longue, j’ai du la faire remonter pour les saisir.
ET LA, CATASTROPHE !
J’avais interverti les ice-timer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les clés que j’avais dans les mains, n’étaient pas les bonnes. C’était le ice-timer des clés du cadenas de la chaîne qui allait de ma cage de chasteté à la poutre et qui maintenait le plug. J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes. Je me suis mis à tirer comme un fou sur la chaîne de mes menottes. Hormis me faire mal je ne suis arrivé à rien. Totalement affolé, je transpirais sous ma cagoule et l’air me manquait à cause du bâillon. Là j’ai commencé à avoir très peur. Au bout d’un moment je me suis parvenu à me calmer et à retrouver une respiration normale.
UNE PEUR HORRIBLE
Il était prévu que ma femme se fasse raccompagner. Si elle invitait sa copine à prendre un verre cela serait la catastrophe. Ou même, qu’elle demande juste à aller aux toilettes ! Dans les deux cas de figure, elle serait obligée de passer par l’entrée et de fait, me verrait en mauvaise posture et sous cage de chasteté. L’horreur absolue !
J’imaginais déjà la crise de ma femme, la honte et tout ce qu’il s’ensuit en essayant de trouver des excuses. Aucune valable ne me venait et pour cause..... Histoire d’agrémenter mon mal-être et la pression psychologique, les pinces sur les tétons devenaient de plus en plus douloureuses et, pour compléter la « charge » physique, j’avais envie de pisser. D’après mes calculs, il devrait être tout au plus 20h ou 20h30.
- Il me restait presque trois heures à souffrir.
- Il me restait presque trois heures angoisser.
- Il me restait presque trois heures à regretter mon selfbondage.
Trois heures à souffrir les pieds nus sur le carrelage froid cela n’aide pas à contenir une irrépressible envie de pisser. Sauf que, en gesticulant d’un pied sur l’autre, cela agitait la chaîne passant entre mes jambes et donc..... cela faisait bouger le plug et les pinces à sein. Il était ..... ( ?? j’en sais rien) quand j’ai fini par craquer et inonder le salon. Soulager ma vessie n’a pas soulagé mon moral, bien au contraire car j’allais me faire tuer par ma femme si l’urine allait jusqu’au tapis qu’elle a payé une fortune.
Les crampes dans les mollets se sont jointes, par anticipation je suppose, à la remonté de bretelle que ma femme allait me faire. J’ai du, encore une fois, faire bouger mes jambes et mes pieds pour essayer de ne pas les laisser s’installer c’est putains de crampes. Et là, mes tétons ont fait cause commune avec mon anus qui commençait à être irrité. Je n’en pouvais plus.
Soudain, j’ai entendu la sonnette. Ding dong plusieurs fois, ma femme m’annonçait avec joie son retour et sûrement qu’il fallait que je m’habille un minimum si elle avait invité son amie à prendre un verre. Je me suis mis à prier en attendant la catastrophe. Le bruit la porte qui claque a fini de me glacer le s a n g. Sa voix m’a congelé !!!!!!
- Mais qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? A crié Christine.
Même si j’avais pu répondre, j’étais plus que mal et déjà au fond de la fosse commune de la honte. Elle continuait de poser les mêmes questions en me tournant autour avec une voix de plus en plus inquiète.
- Tu pourrais au moins me répondre ?
Bâillonné et cagoulé, hormis faire des « non » de la tête, je ne pouvais pas répondre. Je sentais sans la voir qu’elle me tournait autour et observait la situation.
- Tu voulais me faire une surprise c’est ça ?
YESSSSSSSSS ! La voilà l’idée que je n’avais pas trouvée pour lui donner une explication plausible. Je faisais donc des « oui » de la tête.
- Ben je n’aime pas du tout ! Mais putain, il faut réfléchir un peu avant de faire des choses comme ça. Sandrine aurait pu monter prendre un verre et là on aurait été mal. Je te dis pas la honte. Mais tu as pissé par terre ? Mais c’est quoi ces clés qui pendent au-dessus de ta tête ? Oh putain, mon tapis persan !!!!!!!!!!!!!!!
Au lieu de me délivrer, elle s’est mise à essayer de le sauver (si j’ai tout compris) en continuant de crier quelques mots ne figurant pas dans le Larousse ou alors, pas celui que je connais.
-
Mais c’est quoi tous ces trucs qu’il y a dans le sac de la tente ? Tu as acheté des jouets et sextoys sans même m’en parler ? Attends, ne me dis pas que tu joues tout seul quand je ne suis pas là ? Non, ce n’est pas possible ! Je rêve ! Il faut que j’aille prendre une douche et boire un verre pour me remettre car là c’est au-dessous de tout !
-
Christine m’a abandonné !
-
Christine m’a réellement planté là avec mon désespoir en guise de compagnie.
-
Christine a pris son temps, et chaque minute décomposait un peu plus mon moral.
-
Si je comprends bien, en voyant toutes ses clés qui pendent à des ficelles et à tous ces jouets et accessoires, tu jouais tout seul et tu n’as pas pu te délivrer. C’est ça ?
Bien décidé à rebondir sur l’idée d’une surprise que j’aurai voulu lui faire, j’ai fait « non » de la tête.
- Et tu joues souvent à te martyriser tout seul quand je ne suis pas là ?
J’ai encore fait « non » de la tête, avec comme stratégie, de lui expliquer que j’avais seulement fait quelques tests pour lui préparer sa surprise.
- En clair tu es en manque de BDSM et tu vas me dire que c’est parce que je te délaisse comme tu l’as laissé entendre avant mon départ pour Londres.
Même les yeux fermés dans ma cagoule, j’ai vu ma stratégie s’envoler à tire d’ailes et le regard fermé de ma femme en colère.
- Nous allons donc palier à ce problème mon chéri ! Voyons voir tout cela de plus près.
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